
Abreuvoir : fontaine à eau
Activités d’accueil associatives : activités festives et sociales qui ont lieu à la rentrée pour permettre aux étudiants de bien commencer l’année. Ils se retrouvent généralement entre étudiants d’un même programme pour faire connaissance avant le début des cours.
Allo : l’expression signifie « bonjour », elle est utilisée à toutes les sauces et plusieurs fois par jour quand on s’adresse à quelqu’un ! À elle seule, elle traduit la légendaire gentillesse des Québécois et toute la chaleur humaine qui les incarne. Ils sont tellement « fins » (« bons ») !
À tantôt : à toute à l’heure. Utilisé seul, « tantôt » réfère autant au passé qu’à l’avenir (« tantôt, j’ai fait ça » ou « je le ferai tantôt »)
Avoir de la misère : avoir du mal
Avoir un lift : avoir un covoiturage
Bienvenue : de rien. L’expression est aussi un calque direct de l’anglais «You’re welcome».
Bobette(s) : sous-vêtements (culottes, slips, boxers, caleçons, etc)
Bonjour : au Québec, il s’agit d’une forme de salutation, quel que soit le moment de la journée ! Voilà pourquoi il arrive qu’on nous lance « bonjour » pour nous dire « au revoir ».
Blé d’Inde : maïs. La fameuse « épluchette de blé d’Inde » consiste, quant à elle, en une fête à l’occasion de la récolte au cours de laquelle on effeuille le maïs entre amis et/ou en famille.
Retrouvez l'ensemble du lexique québécois en cliquant ici :
C’est bon, vous avez tout compris ? Rassurez-vous, inutile de parler parfaitement québécois pour envisager des études au Québec… Au contraire ! Sur place, c’est en apprenant que vous apprécierez encore plus le charme de la Belle Province et de ses habitants.
Pour en savoir plus sur les études à l’Université de Montréal :
Étudier à Montréal après un bac L, ES ou S : quels programmes choisir?
Linda, étudiante française en journalisme : « pourquoi j’ai choisi l’UdeM »

Journaliste, Daisy est une amoureuse des mots et de la vie des gens et a toujours des idées plein la tête! Indiscrétion : elle voue un culte infini à Catulle Mendès, l'auteur qui lui permet d'étudier l'androgynie dans les oeuvres décadentes du 19e siècle. Raison pour laquelle elle poursuit sa recherche en littératures à l’UdeM.