Admission

Faculté de médecine

DES en urogynécologie et reconstruction pelvienne

Études médicales postdoctorales 6-505-1-5

mars 2024
Début du trimestre
Offert au campus Montréal

Cette formation se déroule selon une approche surspécialisée qui favorise, encadre et prône l’excellence en clinique, en salle d’opération, en recherche et en équipes multidisciplinaires.

Survol du programme

À propos

Développez vos compétences en urogynécologie et reconstruction pelvienne

L’urogynécologie et la chirurgie reconstructive du plancher pelvien sont des surspécialités de la gynécologie. La majorité des grandes universités américaines ont un programme de surspécialisation de ce type de même que quelques universités canadiennes.

Cette surspécialité a connu un développement important depuis 15 ans avec l’ajout de nouvelles technologies d’investigation et d’évaluation et avec l’arrivée de nouvelles techniques chirurgicales et de nouveaux matériaux pour ces chirurgies.

Les stages sont supervisés uniquement par des surspécialistes en urogynécologie. Les stages se déroulent principalement dans les cliniques surspécialisées d’urogynécologie, de neuro-urologie, de pessaires, de cystoscopie et d’urodynamie.

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Cours et particularités

Il s’agit d’un programme de perfectionnement d’une durée de 2 ans et chaque année comporte 13 périodes de quatre semaines.

1re année de résidence

  • Urogynécologie et reconstruction pelvienne I (7 périodes)
  • Chirurgie minimalement invasive et urogynécologie I (1 période)
  • Gériatrie (1 période)
  • Recherche (1 période)
  • Urologie (1 période)
  • Option (2 périodes)

2e année de résidence

  • Chirurgie digestive/colorectale et investigation gastro-entérologique (2 périodes)
  • Urogynécologie et reconstruction pelvienne II (2 périodes)
  • Stage de pédagogie appliquée (1 période)
  • Recherche (2 périodes)
  • Urologie pédiatrique (1 période)
  • Fellow finissant (4 périodes)
  • Chirurgie minimalement invasive et urogynécologie II (1 période)

Stages à option

  • ITM II
  • Urogynécologie gériatrique (Institut de gériatrie de Montréal)
  • Recherche clinique
  • Thérapie physique (Institut de réadaptation de Montréal et cabinet de Mme Louise Perrin, pht spécialisée en incontinence)

Méthodes d’évaluation

La résidente ou le résident (fellow) est évalué sur une base continue et à la fin de chacun des stages selon les grilles d’évaluation en vigueur à la Faculté de médecine et en fonction des objectifs CanMEDS.

  • Formulaire d’évaluations des rôles CanMEDS : La responsable de l’évaluation et directrice du programme demande aux trois mois, à tous les professeurs concernés au sein du programme, de remplir une fiche d’évaluation qui couvre tous les rôles CanMEDS. Elle compile ces évaluations, les discutent avec les professeurs et remplit une évaluation synthèse. L’évaluation synthèse est alors présentée et discutée avec la résidente ou le résident.
Entrevue

À la fin de chaque stage, il s’agit ici de vérifier les connaissances de base sur les grandes problématiques spécifiques et de questionner des éléments plus complexes d’évaluation et de prise en charge et vérifier certaines compétences transversales (situation de conflit dans une équipe, bases de la communication et de la collaboration efficace, etc.).

  • Portfolio descriptif et réflexif : des éléments de ce portfolio seront discutés avec le responsable de l’évaluation, permettant d’évaluer certains acquis ou certaines difficultés de la résidente ou du résident. Ce portfolio vise principalement à vérifier les acquis chirurgicaux.
  • Évaluation 360. Cette évaluation sera faite 3 fois. La responsable de l’évaluation et directrice du programme l’intègre dans une des rencontres d’évaluation.
  • Évaluation de la qualité des communications. Ce point fait l’objet d’une vigilance constante par les responsables de stage, dans les différentes situations tant auprès des patients et leurs proches qu’auprès des équipes de travail. La rétroaction est immédiate et la directrice du programme est informée.
  • Rétroactions sporadiques lors des présentations obligatoires de la résidente ou du résident – Minimum 2 conférences et 3 animations de lecture dirigée (Journal Club) – sous forme d’étude de cas ou de capsule scientifique lors des rencontres scientifiques hebdomadaires du Service.
  • Évaluation par observation directe du geste chirurgical et rétroaction immédiate et consignation au portfolio.

Centres de formation

  • Centre Hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)
  • Hôpital Maisonneuve-Rosemont
  • Option disponible à l’Hôpital Juif de Montréal et à l’Institut de gériatrie

Les activités chirurgicales se tiendront dans les CHU et CHA suivants :

  • Centre Hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)
  • CHU mère-enfant Ste-Justine

Nombre de professeurs : 10

  • Infirmière de recherche
  • Physiothérapeute de recherche
  • Laboratoire d’urodynamie
  • Association de recherche avec :
    • Institut universitaire de gériatrie (Dr Tannenbaum)
    • Institut de réadaptation de Montréal (Dre C. Dumoulin)
    • Université du Québec à Montréal (Dre Sophie Bergeron)
  • Statisticien en support par le département universitaire
  • Association de longue date avec l’industrie pharmaceutique apportant régulièrement des projets de recherche subventionnés.

Exigences d'admission

Conditions d’admissibilité

Assurez-vous de sélectionner vos choix pour afficher les conditions d’admissibilité qui s’appliquent à vous.

Conditions générales d’admissibilité

Pour être admissible à titre d’étudiant régulier et sous réserve de la qualité du dossier, le candidat doit soit :

  • satisfaire aux conditions générales d’admissibilité (section 5.3) du Règlement des études médicales postdoctorales;

  • et respecter la règle sur l'éloignement de la pratique.
     

    Règle sur l'éloignement de la pratique

    Le candidat qui dépose une demande d’admission doit pouvoir démontrer à l’aide d’une documentation officielle qu’il a soit :

    • terminé sa formation médicale de 1er cycle (doctorat en médecine, M.D.) ;
    • été en stage dans un programme de résidence ;
    • pratiqué la médecine de façon autonome,
    • à l’intérieur des quatre années précédant la demande d’admission.

    La préférence sera accordée aux candidats qui pourront démontrer qu’ils ont eu une pratique clinique autonome, soutenue et continue sur une durée minimale d’une année au cours des deux années précédant la demande. À noter que les stages d’observation et la télémédecine ne sont pas considérés comme étant une pratique clinique autonome.

    Adoptée par le Comité des études médicales postdoctorales (2022-CEMP-65-res01), 14 décembre 2022

Exigence de français à l’admission

Dans le cadre de sa mission de former des médecins compétents, la Faculté doit s’assurer de prendre les moyens nécessaires afin de préserver la sécurité des patients.

Tout résident ou moniteur qui souhaite effectuer de la formation médicale postdoctorale à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, doit avoir une connaissance suffisante de la langue française. On définit un moniteur comme toute personne qui poursuit une formation médicale postdoctorale (résidence ou fellowship), en étant rémunéré par une source de financement autre que la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).

Afin de permettre à ces résidents ou moniteurs de s’adapter à leur nouveau milieu et à leur nouvel environnement francophone, le directeur de programme pourra autoriser le résident ou le moniteur à effectuer des stages non contributoires pendant les deux ou trois premiers mois de sa formation.

À l’issue des trois premiers mois de sa formation, il pourrait être exigé du résident ou du moniteur, à la discrétion du vice-décanat aux études médicales postdoctorales, qu’il complète avec succès un examen de français.

Si après cette période le directeur du programme constate que de laisser poursuivre la formation du résident ou du moniteur pourrait mettre en péril la sécurité des patients vu la non maîtrise du français, il pourra après discussion avec le vice-doyen des études médicales postdoctorales, enclencher le processus de recommandation d’abandon ou exclusion.

Une bonne maîtrise du français parlé et écrit est indispensable.

Moniteurs 

Les candidats dont la langue maternelle n’est pas le français et qui ne répondent pas aux critères d’exemption ci-dessous doivent effectuer le test d’évaluation de français (TEF) ou équivalent.

Conditions

  • Le candidat doit s’inscrire et payer les frais requis directement auprès de l’organisme qui administre le test
  • Le candidat sera invité à être évalué sur les 2 compétences suivantes : compréhension orale et compréhension écrite
  • L’expression orale sera évaluée par le programme lors de l’entrevue
  • Le résultat minimum requis par le vice-décanat aux études médicales postdoctorales pour une admission sans condition est le niveau B2
  • Un candidat peut répéter le TEF afin d’améliorer son résultat

Exemptions

Sont exemptés de ce test, les candidats ayant effectué leurs études secondaires en français au Canada OU leurs études collégiales en français au Québec OU d’autres études préuniversitaires entièrement en français OU des études universitaires de 1er cycle entièrement en français.

Pour en savoir plus, nous vous invitons à consulter l'Outil d’aide à la décision.

Notez que les critères quantitatifs ci-dessus ne remplacent pas l’analyse qualitative de votre dossier. Ces critères sont publiés uniquement à titre indicatif. Une admissibilité à un programme d’études ne garantit pas une offre d’admission. Les informations contenues sur cette page sont modifiables sans préavis.

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