
Baccalauréat en enseignement de l'univers social au secondaire
« Je discute constamment, de tout et de rien, souvent de faits historiques méconnus! Cette tendance au bavardage fait partie, il me semble, des qualités requises pour être un bon professeur », raconte Mathia, aussi entraîneur de football, une passion qui lui a donné envie d’enseigner.
« J’ai commencé à être entraîneur de football quand j’avais 17 ans au Collège Mont-Saint-Louis. C’est là que j’ai réalisé que je voulais enseigner! Cela m’a donné la piqûre », confie celui qui estime que l’enseignement est un milieu très valorisant. « On voit évoluer les étudiants en permanence : il n’y a rien de plus gratifiant que de voir un élève progresser. J’aime aider et guider celles et ceux qui en ont besoin, comme d’autres l’ont fait pour moi avant quand j’étais perdu. »
De l’UdeM, le jeune homme retient avant tout des gens passionnés et une vie étudiante active. « L’Université de Montréal m’a changé! J’avais entendu dire que c’était un établissement un peu snob mais c’est tout l’inverse. On y côtoie des personnes ouvertes d’esprit, tout y est très inclusif et on s’y fait des amis facilement! », rapporte Mathia qui réalise actuellement son stage dans une classe à l’école secondaire Sophie-Barat en plus de suivre ses cours de baccalauréat.
Ses conseils aux futurs étudiants et étudiantes? « Posez-vous des questions, informez-vous et allez rencontrer des étudiants qui sont déjà dans le programme que vous envisagez de suivre. Leur parler vous permettra de vous faire une idée plus concrète », lance l’Udemien qui, une fois son bac terminé, compte poursuivre à HEC Montréal au microprogramme en management du sport. La balle est dans son camp…
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Journaliste, Daisy est une amoureuse des mots et de la vie des gens et a toujours des idées plein la tête! Indiscrétion : elle voue un culte infini à Catulle Mendès, l'auteur qui lui permet d'étudier l'androgynie dans les oeuvres décadentes du 19e siècle. Raison pour laquelle elle poursuit sa recherche en littératures à l’UdeM.