
Des chercheurs québécois testeront un médicament contre les complications graves

Des chercheurs de l’Institut de cardiologie de Montréal ont amorcé, le lundi 23 mars, une étude clinique afin de tester un médicament, déjà offert en pharmacie, pour contrer les complications respiratoires de la COVID-19. Ce médicament anti-inflammatoire, appelé colchicine, coûte moins de 1 $ par jour.
Le « R0 » de la pandémie

Benoît Mâsse, professeur au Département de médecine sociale et préventive de l’École de santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM), explique comment l’indicateur mathématique R0 peut être utilisé pour prédire et ultimement limiter la propagation du coronavirus. Par ailleurs, il démontre également la pertinence des mesures d’isolement, de distanciation sociale et de quarantaine.
Une équipe québécoise écourtera le dépistage de la COVID-19

Jean-François Masson, professeur au Département de chimie de l’Université de Montréal, fait partie d’une équipe de recherche qui travaille sur le développement d’un prototype qui permettrait de raccourcir significativement le temps d’attente pour dépister le virus. Les résultats pourraient être reçus en quelques minutes plutôt qu’en quelques heures.
L’espoir dans les labos

La Dre Grandvaux, biochimiste à l’Université de Montréal, explique qu’elle tente de développer un traitement antiviral qui limiterait les effets nocifs du virus et souligne le partage d’information et les efforts conjoints des scientifiques dans le monde.
Des chercheurs traquent l’ennemi jusque dans ses gènes

L’équipe en bio-informatique de Julie Hussin, qui est professeure à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal, essaie de tracer la composition génétique du virus à l’aide de l’intelligence artificielle.

Jasmine est agente de communication au Service de l’admission et du recrutement. Elle est bachelière en science politique et a obtenu une maitrise en affaires publiques et internationales à l'Université de Montréal.